Clohars-Carnoët
Quimperlé
Lieux de promenade
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Quimperlé ville d'histoire
Quimperlé, installée au confluent de l'Ellé et l'Isole à moins de 20 km de Lorient et un peu plus de 40 de Quimper, Quimperlé est à un peu plus de 5 km de Clohars-Carnoët.
On distingue traditionnellement une ville basse et une ville haute. La Basse Ville, centre aristocratique et religieux, s'est développée autour de l'église Saint-Colomban dont il ne subsiste plus qu'une façade et de l'abbaye bénédictine Sainte-Croix de Quimperlé tandis que la Haute Ville s'est développée autour de l'église Saint-Michel et de sa place, centre d'origine commerçant.
Si l’homme fréquente les lieux depuis l’époque de Néandertal, la première agglomération ne voit le jour qu’au Ve siècle de notre ère. Quimperlé s’appelait alors villa Anaurot, mais elle est détruite par les Normands, trois siècles plus tard en 868. La ville est reconstruite lors de la fondation l'abbaye bénédictine Sainte-Croix de Quimperlé (1029/1050) et prend le nom que lui nous connaissons aujourd'hui.
Basse Ville et Haute Ville
La Basse Villle occupe la zone de terrain de la presqu'île de confluence enserrée entre les cours de l'Ellé et de l'Isole, transformée en île artificielle par la création de douves joignant les deux cours d'eau peu avant leur confluence, ainsi que les rives de la Laïta. Une bonne partie de la Basse Ville est inondable.
L'ancienne abbaye bénédictine Sainte-Croix est à l'origine du noyau urbain initial en raison des fortifications entourant et protégeant l'abbaye à partir du XIIIe siècle, et de l'attrait du minihi (1)
Le duc Jean Ier de Bretagne fonda en 1264 sur la rive gauche le monastère des Dominicains , à l'origine du développement du faubourg du Bourg Neuf, longtemps mal relié à la ville jusqu'à la construction en 1643 du pont des Jacobins, enjambant l'Ellé.
Une agglomération de moindre importance s'est également développée autour de l'Abbaye blanche, sur la rive gauche de la Laïta, face à la montagne Saint-Michel. Celle-ci a pris le nom de Bourgneuf. La zone urbanisée s'est par la suite étendue notamment en direction de l'ouest à la suite de la construction de la gare ferroviaire en 1862-1863.
La Haute Ville occupe au contraire les parties hautes avec la montagne Saint-Michel.
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(1) En Bretagne, au Moyen Âge, cette institution ne se rencontre que dans les zones qui furent, durablement ou non, bretonnantes. C’est une circonscription religieuse qui associe au droit d’asile un certain nombre d’exemptions et de franchises vis-à-vis des pouvoirs laïcs. Le minihi est donc à la fois un asile et une immunité.
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Basse Ville et Haute Ville
La ville est riche en histoire et nombreuses en sont les traces à découvrir :
• L'abbaye Sainte-Croix de Quimperlé est une abbaye bénédictine, fondée en 1029 ou 1050, par le comte de Cornouaille, Alain Canhiart. C'est, avec l'église de Lanleff, dans les Côtes-d'Armor, la seule église de Bretagne à avoir un plan circulaire, calqué sur celui de l'église du Saint-Sépulcre, à Jérusalem.
• L'église Notre-Dame de l'Assomption est l'ancienne chapelle de la communauté des bourgeois de la ville21 : sa nef, datant du XIIIe siècle, et dans un style gothique primitif. L'édifice, connu aussi sous le vocable de Saint-Michel, est une construction des XIIIe et XVIe siècles, surmontée d'une tour carrée.
• L'abbaye Blanche est l'ancien couvent des dominicains. Fondée en 1265, par le duc Jean Ier, elle ferme en 1790 et est achetée comme bien national. Elle subit des destructions pendant la Révolution française : église détruite et bâtiments conventuels défigurés.
• Les vestiges de l’ancienne église paroissiale Saint-Colomban (porche roman du IXe siècle surmonté d'une fenêtre gothique du XIIIe siècle) ; restes d'un pilier du chœur gothique, avec cul-de-lampe à visage humain.• La « Maison des Archers » (Ti ar Waregerien)24 est une maison à pans de bois à façade sur rue, du XVIe siècle, restaurée dans les années 1970 et en 2011. Construite sur cinq niveaux, haute de trois étages, elle possède de remarquables poutres en bois et cheminées en granite.
• Et bien d’autres encore.
Ville d'histoire
Basse Ville - Haute Ville
A voir ou visiter
Le Pouldu
Sur le littoral, le Pouldu est une station balnéaire familiale, avec ses places (Bellangenêt, Kérou, Grands Sables)
Le Chemin de douaniers
Il longe les falaises dentelées et surplombe plages et criques. Le suivre permet de découvrir de magnifiques paysages.
Le port de Doëlan
Le port de Doëlan s’anime avec la vente quotidienne des côtiers qui pêchent, selon les saisons, crevettes, crabes, langoustes, sardines, bars ou maquereaux.
On peut y apercevoir à quai le misainier « Le Rigolo », copie conforme d’un navire armé pour la pêche à la sardine en 1922, avec sa grande voile de 50 m2.
Le site de Saint Germain
Les ruines de l’Abbaye Cistercienne de Saint-Maurice se situent sur la rive droite de la Laïta, dans la forêt de Carnoët. On peut visiter les lieux ou se promener aux alentours.
Mise à jour : Janvier 2019